Le résumé

Au point de départ pour Hannah Arendt, comme pour Augustin, il y a une expansivité, le désir. « Structure fondamentale de l’étant », le désir est la forme d’un appétit qui installe le désirant dans la solitude, le dispose à toutes les détresses et à toutes les audaces, mais qui trahit une dynamique irrécusable, la volonté d’être heureux. Bonheur, joie, de quelque nom qu’on l’appelle, l’objet du désir révèle la fin ultime de l’être créé : être heureux. La disciple de Heidegger ; l’élève de Jaspers, et la lectrice de Kierkegaard révèle dans cette dissertation doctorale la trame prépolitique et les sources chrétiennes de son œuvre.

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